Pré-commande
Nous avons réussi avec succès notre campagne de financement participatif ! Nous relevons aujourd'hui nos manches pour fabriquer nos premiers livres. Nous prévoyons la livraison pour Juin 2017.
Si vous désirez pré-commander un ou plusieurs ouvrages, remplissez le formulaire suivant ou écrivez-nous un email avec la liste des éléments que vous souhaitez acheter. Si vous êtes à Bruxelles, arrangeons une livraison autour d'un café, ou d'une bière.
We have successfully completed our crowdfunding campaign ! Today, we are rolling up our sleeves to make our first books. We plan to ship in June 2017.
If you are interested in pre-ordering one or several publications, please complete the form bellow or send us an email with the list of items you would like to purchase. If you are in Brussels, we can arrange a delivery over coffee, or beer.
Formulaire
Risographie : Autobahn
Sérigraphie : Fiona Brunet, Abigaël H., Charlène Mao et Marie Theurier (Atelier Printmaking de la Cambre)
Papier : Fedrigoni
Reliure : AJM Printshop
Design : Chloé Bernhardt & Justin Bihan
Couv. : Symbol Freelife 200 g/m2
Int. : Arcoprint milk 100 g/m2
17 × 27 cm, 38 pages
ISBN 978-2-9602002-2-5
Première édition : 130 ex.
Épuisé / Out of stock
Le récit s'arrête là ou commence la collection. Dans Chien blanc du nord, serpent noir du midi, les dessins de Diane Malastesta existent à partir d'un ensemble d'archives qui ont toutes en commun un même espace-temps : l’Exposition coloniale de Marseille de 1922. L’espace architectural du parc devenu étranger, parfois dysfonctionnel, ne conserve que de réel ses ornements. Les acteurs et les visiteurs n’y figurent plus. La rêverie d'outre-mer se confond avec le mythe. En se revêtant d'artifices, l'image se souvient, témoigne et répand le mensonge.
The story ends where the collection begins. In her book Chien blanc du nord, serpent noir du midi, Diane Malatesta’s drawings exist from a set of archives that all have a special space and time in common: the 1922 colonial exhibition of Marseille. The architectural space of the park become unfamiliar, sometimes dysfunctional, it only preserves its ornaments. Actors and visitors no longer appear. The daydream of overseas confuses itself with the myth. By covering itself with artifices, the image remembers itself, it testifies and diffuses the lie.